dimanche 22 janvier 2012

suite du progamme

Santé et Sport Santé : insuffisance de l’offre en
infrastructures de santé, vétusté et sous-
équipement des structures de santé,
absence de collaboration entre le secteur
public et le secteur privé, déficit de
personnel qualifié, difficultés de
financement du système de santé,
manque de qualification du personnel
intermédiaire et subalterne de la santé
Sport : insuffisance et vétusté des
infrastructures sportives, absence
d’initiatives sport/études, insuffisance de
formation des cadres du sport, manque
d’écoles de sport, absence de parcours
sportif
Sous-équipement de
l’hôpital Youssou
Mbargane Diop et
insuffisance de centres
de santé dans les
quartiers périphériques
densément peuplés de la
ville
Vétusté et sous-
équipement du stade
omnisport Ngalandou
Diouf
Manque de formation des
cadres techniques du
sport
Absence d’infrastructures
sportives dans les
quartiers
• Renforcer le plateau
technique (équipement et
ressources techniques) de
l’hôpital Youssou Mbargane
Diop
• Augmenter le budget du
district sanitaire de Rufisque
• Affecter des cadres
techniques pour la formation
des jeunes sportifs et
assurer leur
perfectionnement continu
• En partenariat avec la
municipalité, promouvoir
l’aménagement d’un réseau
de plateaux multifonctionnels
dans les quartiers
périphériques de la ville
Construire de nouveaux centres de
santé dans les quartiers d’extension
de la ville
Affecter un personnel qualifié et
doter de ressources techniques les
structures de santé de la ville pour
prendre en charge les questions de
santé publique liées à la
dégradation de l’environnement
Réhabiliter, augmenter la capacité
et renforcer les équipements du
stade Ngalandou Diouf
Economie locale Tissu industriel fortement réduit, industrie
locale de la pêche en déclin, faible
présence de PME en dehors de quelques
ateliers de menuiserie et unités de
transformation des produits maraîchers,
les PME locales profitent peu de la soustraitance avec les grands groupes
industriels présents, pression foncière
défavorable à l’agriculture urbaine et périurbaine, les marchés importants de la ville
sont encombrés, mal entretenus et sous-
équipés, absence de mécanismes de
financement approprié pour les artisans et
autres producteurs locaux, insalubrité et
sous-équipement du quai de pêche et de
l’aire de transformation des produits de la
mer
Insuffisance et sous-
équipement des
infrastructures
marchandes
Pression foncière au
détriment de l’agriculture
urbaine
Faiblesse de
l’investissement privé
Sous-équipement et
maque de financement
de la micro-industrie
locale de transformation
des produits animaux,
céréaliers et de la mer
• Accompagner la municipalité
dans la décentralisation des
infrastructures marchandes
(accès au foncier)
• Appuyer les producteurs
agricoles et sécuriser les
sites dédiés à l’agriculture
péri- urbaine (Lendeng par
exemple)
• Renforcer le potentiel
commercial et les
infrastructures (de
conservation par exemple)
du quai de pêche et de l’aire
de transformation des
produits de la mer
• Réaliser des programmes de
formation des acteurs
informels en entrepreneuriat
Mettre en place des dispositifs
d’encouragement à l’investissement
privé de la Diaspora
Encourager le partenariat entre la
ville et les communautés rurales
limitrophes dans l’édification d’un
marché de gros spécialisé dans les
produits de l’agriculture urbaine
(fruits, légumes, produits de volaille
et autres)
Installer dans la ville une antenne
des institutions en charge du crédit
aux PME
Installer une pépinière d’entreprises
locales

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